Un oui pour ne plus dépendre des chaines de production et de transport internationales, et pour la planète et l’écologie.
Mais nous pouvons aussi répondre NON puisqu’il nous est impossible de disposer de toutes les matières premières dans un rayon de 100km. Un non parce que le cout-délai induit par la mise en place d’une filière industrielle ne leur permet ni d’être concurrentiel ni réactif.
Quelle est la solution ? Peut-être choisir la fameuse voie du milieu, en panachant les sources d’approvisionnement. Le tissu industriel local est alors sécurisé et la rentabilité de nos industries peu affectée. Pour ce faire l’utilisation d’outils flexibles et ouverts est un prérequis.
Revue de presse de la division LOGISTICS AUTOMATION.
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